LA RESIDENCE ALTERNEE AUJOURD'HUI

La loi n°2002-305 du 4/03/02 qui prévoit la résidence alternée est-elle appliquée?

La résidence alternée est non seulement possible, elle est depuis la loi de mars 2002, le mode de garde à envisager en priorité avant tout autre. Mais qu’en est-il dans la réalité? Les juges peuvent d'après la loi décider de mettre la résidence alternée en oeuvre à titre provisoire avant toute chose dès l'ordonnance de non-conciliation, et même en l'absence d'accord entre les parents. Dans les faits, appliquent-ils réellement les textes ? Avez-vous une expérience à faire partager positive ou négative de vos démarches ou de celles de vos parents auprès du juge en ce domaine? Quels sont les motifs invoqués pour accepter ou refuser la mise en place de la résidence alternée?Précisez-nous votre âge, ou à défaut si vous intervenez en tant qu'enfant ou parent.

La résidence alternée en pratique

Pour ceux qui ont pratiqué la résidence alternée, quels en ont été les effets positifs et négatifs pour chacun des protagonistes, et notamment pour l'enfant.

La residence alternée par cycles longs une réponse aux déménagements intempestifs

Le déménagement d’un des parents est-il toujours l’arme absolue contre la résidence alternée? La résidence alternée par cycle longs, 1 an, 2 ans, qui constitue une riposte à cette entrave à la co-parentalité et à l'intérêt et au droit de l'enfant à ses deux parents, est-elle décidée par les juges et/ou les parents?

La résidence alternée pour les enfants de moins de 3 ans

Que pensez vous de la résidence alternée pratiquée avec les enfants de moins de 3 ans. Est-elle réellement impraticable ou au contraire tout à fait capitale pour l'enfant en terme de maintien de liens non exclusifs avec chacun des parents? Avez vous pu en faire respecter le principe et la mettre en pratique? A votre avis, quelles sont ou quels ont été ses effets sur vos enfants?Nous aimerions beaucoup récolter vos témoignages en ce domaine sensible actuellement ?

Residence alternée et pension alimentaire

De plus en plus souvent des décisions de résidence alternées avec double domiciliation et partage égalitaire du temps sont assorties d'une obligation unilatérale de versement d'une pension alimentaire d'un parent à l'autre parent à fin d'éducation, alors même que les deux parents ont à engager les mêmes dépenses pour le temps où l'enfant vit chez eux, et même s'ils ont des revenus quasi similaires. Cette pension alimentaire semble être exclusivement demandée au père quelques soient les conditions de ressources des protagonistes. Faut-il y voir le monnaiement de la double domiciliation? Nous attendons vos témoignages, analyses, et commentaires sur cette question.